Nos Propriétés
CHÂTEAU
MAROJALLIA
Mariage subtil de la vigne, de la tradition et du luxe, découvrez à nos côtés, les richesses du Château Marojallia…
A l’entrée du village de Margaux, lieu de passage incontournable pour les amateurs de vins, se dresse le Château MAROJALLIA telle une invitation à la visite.
Au coeur de
MARgaux
Margaux est la première des 6 appellations communales du Médoc mais aussi la plus vaste et la plus prestigieuse. Après avoir quitté Bordeaux par Blanquefort en empruntant la D2 surnommée « la route des châteaux », vous arriverez au cœur de Margaux et apercevrez à l’entrée du village, Marojallia.
Dès le franchissement du seuil de cette somptueuse demeure, commence un nouveau voyage : le hall à la grecque, le salon anglais, les chambres Chinoises, Romaine, Persane, Vénitienne, Japonaise, Africaine, inspirés des innombrables échanges qui ont nourri le bordelais tout au long des siècles, ne doivent pas vous faire oublier que nous sommes au cœur du vignoble de Margaux.
Raffinement des atmosphères, des décors et des couleurs, les salons déploient leurs fastes sous la douce lumière de Margaux, les chaudes boiseries invitent à la détente…
Invitation au voyage et au suspens du temps, à l’instar des grands poètes et des philosophes qui nous incitent au repos et au bien être. Chaque chambre associe confort et rappelle des âges d’or de chaque civilisation. Enchantement de la Chine ancienne, dialogue délicat des matières et des formes : le bois sombre et l’étoffe, le noir et le rouge s’y accordent, signes ancestraux de bonheur et de détermination.
La magnificence des décors peints et des couleurs, la richesse des étoffes, les éclats des jeux de lumière transportent dans le théâtre somptueux d’une Venise préservée, maîtresse des arts, de fantaisie et de la douceur de vivre.
CHÂTEAU
BOUQUEYRAN
Laissé à l’abandon pendant de nombreuses années par les anciens propriétaires,
le Château Bouqueyran, à l’état de ruine depuis la Tempête de 1999, a été reconstruit pierre par pierre sur le coteau d’en face.
CHÂTEAU
BOUQUEYRAN
A mi-chemin entre Margaux et Saint-Julien, l’appellation Moulis est la plus petite appellation du Médoc. Aux XIVème et XVème siècles, la vigne est implantée dans les territoires de l’intérieur plutôt qu’en bordure de l’estuaire pour éviter les méfaits de l’humidité du fleuve.
C’est ici sur les croupes de « Becoyran en moulix » et du puy de Minjon que M Hugon, ancien juge de paix de Castelnau, auteur d’une notice sur la commune, note la présence d’une maison noble ayant appartenu, en 1455, à Jean de Bouqueyran, damoiseau. Bernique de Bouqueyran la posséda de 1465 à 1475. Près du Château fut édifiée une chapelle sous l’invocation de la Saint-Michel. Sous la révolution, celle-ci fut vendue comme bien national puis démolie.
Ce serait Jacques Carrère, ancien artilleur démobilisé en 1815, propriétaire du domaine de Bouqueyran qui aurait construit la bâtisse principale du château Bouqueyran vers les années 1850. A cette époque, le domaine produit déjà 225 hectolitres de vin. La construction n’a alors pas tout à fait la forme qu’on lui connait. La partie centrale de cette chartreuse est composée de trois pièces en enfilade avec un étage « charpente à la Mansart » et trois fenêtres en chien-assis. Ce type de charpente permettait la réalisation de vastes combles habitables et témoignait de la richesse de son propriétaire au XIXe siècle. Le perron en façade anoblissait le bâtiment avec ses garde-corps en fer forgé. Les murs sont en moellons jointés à la chaux, les soubassements et les angles sont en pierre de taille.
En 1862, la propriété est vendue à Raymond Robin, propriétaire de Citran (Avensan), qui donna à l’ensemble son apparence actuelle avec les deux tours pavillon. Il fait construire une maison d’ouvriers toujours existante à coté du château.
En 1876, Bertrand Gorce, ex-capitaine de navire, achète la propriété. A son décès, sa sœur,Hélène Gorce, en reprend les rênes avant de revendre Bouqueyran en 1888 au vice consul du Portugal Charles Delapierre, lequel revend en 1902 à Jean-Léon Fronsac (1910), M Jotard, huissier de justice de Castelnau (1925), Roger Dorneau (1934), Jean Baptiste Prunin (1952). En 1954, le domaine fut acquis par Pierre Martin, à qui succède Pierre-Jean Marie Martin.
En 1995, Philippe Porcheron reprend ce domaine en fermage, mais ce n’est qu’en 2011 qu’il devient propriétaire du château et de son domaine.
Laissé à l’abandon depuis de nombreuses années et en l’état de ruine suite à la tempête de 1999, il était inconcevable pour Philippe PORCHERON, déjà exploitant de la marque « Château Bouqueyran », de laisser le Château dans cet état.
« Un château reflète l’image de marque de son cru, alors que faire ? »
Il a d’abord été envisagé de rénover le château existant, mais les contraintes techniques, l’alignement devant le château et les réseaux, n’auraient pas été une bonne base pour cette demeure d’exception et de nouveaux chais.
L’idée est alors venue que sur le coteau d’en face, en hauteur, au milieu des vignes, le Château Bouqueyran pourrait renaître de ses cendres.
Un projet fou voit le jour : reconstruire le Château Bouqueyran !
Le pari est lancé, les autorisations validées, ne reste qu’à suivre cette nouvelle aventure hors du commun avant de pouvoir contempler à nouveau la beauté de ce château d’exception.
Fin 2013, le chantier commence par la démolition de l’ancien château. Les parties bétons, rajoutées au fil du temps, sans intérêt architectural, sont démolies, les ardoises et la charpente démantelées, les pierres et les corniches déposées une à une et numérotées pour pouvoir les réutiliser sur le futur château à rebâtir. C’est un chantier titanesque.
Puis après la démolition, est venue le temps de bâtir sur le coteau en face au milieu des vignes, un nouveau chai avec toutes les installations modernes pour abriter les récoltes du château.
Enfin, à côté du nouveau chai, en hauteur au milieu des vignes, nous avons reconstruit le Château Bouqueyran pierre par pierre, en respectant l’architecture de sa façade historique, avec les meilleures entreprises pour ces ouvrages d’exception : Pierre de Taille, Corniches, Chien-assis, Tourelles, Charpente à la Mansart…
Pour la vendange 2018 c’est chose faite, le chai est terminé et peut accueillir la première récolte du château Bouqueyran. Reste quelques travaux d’aménagement et de décoration dans le Château, toujours en cours de réalisation.
